Plusieurs possibilités se profilent à l’horizon quant au statut du chauffeur. La majorité des professionnels œuvrant dans ce domaine est constituée de travailleurs indépendants. Et s’il s’agit d’une personne morale, l’entreprise doit être enregistrée sous la catégorie Société par action simplifiée à associé unique ou SASU VTC. De ce fait, le conducteur peut aussi être un salarié avec un CDD ou un CDI.
Obtenir sa carte
Peu importe la situation, la carte est inéluctable. Sans quoi la conduite fait preuve de manquement à la loi.
La formation est incontournable
Plusieurs offres de formation sont disponibles à notre niveau. Ces prestations sont mises en place pour répondre aux besoins de tout un chacun. En sachant que tout le monde n’a pas forcément le luxe de s’adapter à un horaire quelconque.
Dans ce sens, l’offre en journée convient à la masse. Elle ne vise pas uniquement à préparer les apprentis à l’examen, mais initie également à la mise en place et à la gestion d’une entreprise y afférente.
Pour les professionnels exerçant une autre activité, un autre programme de soir est disponible. Ce changement d’horaire n’impacte en rien la qualité et le contenu de la formation. Ensuite, des cours supplémentaires sont procurés pour faire face aux réformes appliquées au fur et à mesure sur ce secteur.
Se tenir prêt aux deux épreuves
Les préparations pendant cette phase de formation permettent de se tenir prêt aux examens VTC. Notez qu’une formation à distance est accessible à ceux qui n’ont pas de temps pour les enseignements présentiels. Toutefois, la présence est indispensable pour l’épreuve théorique.
Parmi les matières spécifiques à ce métier, les points afférents à la sécurité sont ceux qui importent le plus. Vous avez donc besoin d’une connaissance très approfondie sur le Code de la route pour réussir, que ce soit pendant la première partie qu’au cours de l’examen pratique. D’ailleurs, une formation pratique est envisageable pour une conduite irréprochable.
